Le premier concert de Little Girl (dont je suis l'interprète, influences : The Doors, Stranglers, Joy Division) aura lieu le 31 Octobre lors de la soirée Post Punk organisée par Jaam Sono.
Nous interpréterons nos compos, nos reprises ainsi que ma cover de Riders on the Storm. venez nombreux ! Ce bas relief orne un immeuble 1900 de la rue des Franc-Bourgeois à Paris. Superbe visage dans le plus pur style Art Nouveau. Héroïne fatale ou belle ingénue ?
Voyageons dans les verts espoirs et le temps jadis où les photographies fleurissaient dans de beaux albums.
Comme bien des artistes, ce sont les Doors qui m'ont incité à faire de la musique et à chanter.
J'ai découvert le groupe vers 17 ans et même si j'ai longtemps eu du mal à regarder Jim Morrison en face (il me créait un énorme malaise), j'ai toujours apprécié leur musique et les paroles. Je me suis longtemps arrêté aux trois premiers albums, les suivants étant légèrement différents. Et puis les années passant, je suis enfin parvenu à regarder des photos de tous les membres du groupe sans tressaillir, ainsi que des vidéos. Il fallu très longtemps pour que le malaise se dissipe. C'est quelque chose que je n'ai jamais pu expliquer... Et puis les trois derniers albums m'ont finalement intéressés et beaucoup plu, surtout Morrison Hotel et LA Woman. Je n'aime pas particulièrement les reprises. Je ne m'étais jamais dit que j'en réaliserai une même si je chante très souvent les Doors en privé. Pourtant, Riders on the storm s'est récemment invité sur ma guitare et la reprise m'a parue évidente. Peut-être parce que j'ai beaucoup écouté ce titre ces derniers mois dans des circonstances délétères. Quoi qu'il en soit, la voici. J'ai pris le contre pied de l'originale : là où elle est longue et saturée d'une basse entêtante, je l'ai faite courte et sans basse. J'ai légèrement ré-arrangé la mélodie à ma façon. La page Facebook de Jim Morrison's Paris l'a déjà publiée. C'est probablement un titre que nous jouerons en live avec mon autre groupe Little Girl. Bien sûr, si elle vous plaît, n'hésitez pas à la partager et la faire connaître. C'était un très vieux chat. Mais comme tous les matous, il se montrait d'une incurable curiosité. Examinant et furetant perpétuellement dans son entourage, qu'il appartienne aux hommes ou à la nature. Son maître était un magicien appelé Parafaragamus, vivant seul dans un donjon reculé, dernier vestige d'un château détruit par le temps et la folie des hommes.
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Décembre 2022
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